Michel Ceysson, maire et Françoise Chasson, adjointe à la culture, ont assisté à l’installation de « Ode au Tibet », une œuvre conceptuelle de Nicolas Volle qu’il a offerte à la commune.

Nicolas Volle est un artiste plasticien né en 1974. Dans un premier temps, il se forme à la métallurgie pour laquelle il se trouve une véritable passion. Après 20 ans dans l’industrie métallurgique et une incursion dans l’univers de la formation, Nicolas Volle se reconvertit professionnellement et se consacre cette fois-ci entièrement à ses pratiques artistiques, notamment à la photographie.

Autodidacte, s’inspirant de l’instant présent où tout est art, tout est sens, Nicolas Volle se dédie uniquement à la sculpture en 2022. Son passé dans la métallurgie lui offre son premier médium et lui permet de réaliser des œuvres conceptualisées.  Entré sur le tard sur le marché de l’art, il a déjà présenté ses œuvres dans plusieurs expositions collectives et il continue d’explorer différents canaux pour montrer son savoir-faire et ses créations.

L’œuvre offerte à la commune lui est venue devant une lampe à sel de l’Himalaya et des concepts de la philosophie bouddhiste. L’artiste précise : « je souhaitais créer un pont entre la zénitude qui règne généralement dans ce pays et le mode de vie occidental qui suivant les philosophies doit tendre à se pacifier. C’est un message d’amour et de paix qu’il faut voir particulièrement dans l’œil rouge qui représente l’équilibre ».

Nicolas Volle a utilisé des métaux, de l’acier inoxydable et de la résine sur métal. Les dimensions de la sculpture sont : 1 970 cm de hauteur, 1 500 cm de largeur, et 9,5 cm de profondeur. Elle pèse 82 kg. A sa demande, l’œuvre a été installée sur les toilettes publiques du parc de la source Intermittente.

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